• GUILLAUME de TONQUEDEC ET ALICE DUFOUR

Ils jouent dans la pièce l’américain Georges Axelrod, adaptée par Gérald Sibleyras, et mise en scène par Stéphane Hilel « 7 ans de réflexion » dont on a tiré le célébrissime film (« Seven years itch ») réalisé par Billy Wilder, avec Marilyn Monroe et Tom Ewell en 1955, avec aussi Francois Bureloup, Agathe Dronne, Jacques Fontanel, Clément Koch.

Á partir du 17 septembre, au Bouffes Parisiens.

L’HISTOIRE : à New York, dans les années 50, dans la fournaise de l’été, un employé d’une maison d’édition (Guillaume de Tonquédec), marié et père de famille, fait la connaissance d’une jeune actrice de pub, qui vient d’emménager dans l’appartement du dessus (Alice Dufour). Il se retrouve à boire du champagne avec elle, dans son salon à lui…
Va-t-il succomber à l’infidélité ? Va-t-il tomber amoureux ? Et qu’adviendrait-il de son couple ? Va-t-elle accepter « d’aller plus loin avec lui » ? Va-t-elle tomber amoureuse ?

  • LEWIS EVANS

Chanteur franco-britannique originaire de Liverpool, il a déjà 2 albums solos à son actif, il chante aussi depuis 2006 dans un  groupe normand de Saint Lô, The Lanskies.

Dans son  1er  album, on avait remarqué des duos  avec  Gaétan  Roussel  et  Keren Ann…

Son second album s’intitule « Man in a bubble »

Informations sur sa page Facebook: https://www.facebook.com/LewisEvansOfficial/

  • PROFESSEURE ALEXANDRA DURR

Elle est une des spécialistes de renommée mondiale des maladies neurologiques héréditaires (professeure, chercheuse et praticienne) à  L’institut du Cerveau et de la Moelle Epinière de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris…

L’ICM, donc Guillaume de Tonquedec est le parrain, fêtera ses 10 ans d’existence en 2020. Il est présidé par le professeur Gérard Saillant.

On y traite des patients souffrant de troubles du système neveux, du cerveau et de la moelle. Chaque année 100 000 patients y sont examinés.

Cet institut a deux particularités. Il est à la fois centre de soin et centre de recherches, avec un but commun : la découverte de nouveaux traitements. L’équipe est composée de 700 chercheurs, soignants, et techniciens et de 44 nationalités. Parmis les maladies traitées ou faisant l’objet de recherches approfondies, on trouve : les traumatismes du cerveau et de la moelle épinière, les tumeurs cérébrales, Alzheimer, l’épilepsie, la sclérose en plaques, les AVC, la dépression, la schizophrénie, les TOC, l’autisme, la maladie de Charcot, la maladie d’Huntington…

Pour plus d’informations : https://icm-institute.org/fr/

  • SUGGESTIONS CULTURELLES

LIVRES

« Les derniers jours de Marlon Brando » de Samuel Blumenfeld aux éditions Stock.

NOTE DE L’EDITEUR
«Quand le narrateur rencontre en 2003 Marlon Brando, star déchue sur les hauteurs de Hollywood, il découvre un ogre paranoïaque qui regarde en boucle ses anciens films. Épuisé et ruiné par les pensions de ses divorces, Roi Lear qui aura trop enfanté, dont un fils meurtrier, il n’est plus l’acteur bestial d’Un tramway nommé Désir, le révolté du Bounty qui acheta un atoll à Tahiti, le dictateur paternaliste du Parrain, le crâne monstrueux d’Apocalypse Now, mais un survivant qui attend la mort et cherche la force de l’apprivoiser. À travers un fascinant et joueur face-à-face, le narrateur sera son guide, puis son exécuteur. »

« Journal d’un amour perdu » d’Eric-Emmanuel Schmitt aux éditions Albin Michel.


NOTE DE L’EDITEUR
« « Maman est morte ce matin et c’est la première fois qu’elle me fait de la peine. »
Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d’apprivoiser l’inacceptable : la disparition de la femme qui l’a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l’humour, le culte de la joie.
Ce texte explore le présent d’une détresse tout autant que le passé d’un bonheur, tandis que s’élabore la recomposition d’un homme mûr qui n’est plus « l’enfant de personne ». Éric-Emmanuel Schmitt atteint ici, comme dans La nuit de feu, à l’universel à force de vérité personnelle et intime dans le deuil d’un amour. Il parvient à transformer une expérience de la mort en une splendide leçon de vie.

« L’extase du selfie-Et autres gestes qui nous disent » de Philippe Delerm aux éditions du Seuil.

NOTE DE L’EDITEUR
« Et vous, quel geste vous trahit ?
Il y a les gestes qui disent l’embarras, d’autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d’exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesses, nos amours comme nos détestations :
le selfie, geste roi de nos vies modernes ;
le  » vapotage « , qui relègue l’art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ;
les hommes de pouvoir qui se grattent le dessous de leur chaussette ;
cette façon qu’on a parfois de tourner le volant avec la paume de la main bien à plat ;
un verre qu’on tient à la main sans le boire…
À lire Philippe Delerm, on se dit souvent :  » Mais oui, bien sûr, c’est exactement cela !  » Mais lui seul aura su décrire ces gestes du quotidien avec tant de finesse et de vérité – tant de profonde analyse de la nature humaine.
Inventeur d’un genre dont il est l’unique représentant, l' » instantané littéraire « , Philippe Delerm s’inscrit dans la lignée des grands auteurs classiques qui croquent le portrait de leurs contemporains, tels La Fontaine ou La Bruyère. Il est l’auteur de nombreux livres à succès, dont La Première Gorgée de bière, Je vais passer pour un vieux con ou Sundborn ou les Jours de lumière (prix des libraires, 1997).
 »

 

 

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