• FRANÇOIS MOREL

Le coffret DVD de ses 5 spectacles est actuellement disponible.

Il prépare un nouveau spectacle musical pour janvier prochain, qu’il jouera à la Scala de Paris et intitulé « Tous les marins sont des chanteurs ». Ecrit à partir de chansons de Yves-Marie Le Guilvinec, un marin breton, mort en mer, en 1921, ’auteur de « La Cancalaise ». Dans un vide grenier, François Morel a acheté une brochure de 1894, contenant 12 chansons d’Yves-Marie le Guilvinec. Il a décidé de « faire revivre » cet auteur oublié (contrairement à l’autre auteur breton, Théodore Botrel, « La paimpolaise », qui, lui est passé à la postérité.)
Un spectacle écrit avec la complicité de Gérard Mordillat, et Antoine Sahler, qui ont souvent travaillé avec lui.

 

Le disque et le livre du spectacle sortira en octobre…

 

  • COLLECTIF « SYMPHONIE CONFINEE »

La chanson « La tendresse » écrite et composée par Hubert Giraud et Noel Roux, immortalisée par Bourvil, a été enregistrée pendant le confinement,  par le collectif « Symphonie confinée » qui regroupe 45 musiciens et artistes, à l’initiative du musicien Valentin Vander.

Cette participation de nombreux artistes (dont Gauvain Sers) s’est faite au profit de « tous ceux qui ont été touchés par le COVID 19 ». Elle a totalisée plus de 1 million et demi de vues sur les réseaux sociaux…

  • LIVRES PRÉSENTÉS PAR MICHEL

 « Jean-Pierre Melville, une vie » de Antoine de Baecque aux éditions du Seuil.

NOTE DE L’EDITEUR
« Le 20 octobre 1917 naissait Jean-Pierre Grumbach, alias Melville, l’un des plus grands cinéastes du xxe siècle. À l’occasion du centenaire de sa naissance, ce portrait en huit poses épouse les différentes faces, parfois contradictoires, souvent ambiguës, de la vie de cet homme insaisissable, à travers des recoupements féconds avec sa filmographie. Peu de livres existent sur Melville, réalisateur pourtant adulé à l’étranger, célébré en France, étudié à l’université. Ce beau livre sur son œuvre et sa vie, croisant ses archives personnelles et des photographies en grande partie inédites, est un document d’importance pour la transmission cinéphilique et le rayonnement de son travail. Un livre trouble et haletant comme un « film noir », chaque chapitre devenant un nouveau rebondissement de cette existence – de la jeunesse de Jean-Pierre Grumbach, son engagement dans la Résistance, à l’invention d’une figure mythique au stetson, de la construction des Studios Jenner à l’incendie de son temple du cinéma, du précurseur de la Nouvelle Vague au maître du « polar ». Un ouvrage pour comprendre celui qui, dans À bout de souffle, incarnant l’écrivain Parvulesco, répondait à la question de Jean Seberg « Quelle est votre plus grande ambition dans la vie? » par cette formule légendaire: « Devenir immortel. Et puis… Mourir. » »

« Michel Audiard, le livre petit mais costaud » de Philippe Lombard aux éditions Hugo & Image.

NOTE DE L’EDITEUR
« Une Bible de poche pour (re)découvrir l’univers de Michel Audiard à l’occasion du centième anniversaire de sa naissance.
Le 15 mai 2020, nous fêterons le centenaire de la naissance de Michel Audiard, le scénariste et dialoguiste le plus populaire du cinéma français. L’occasion de (re-) découvrir de façon originale un pan du patrimoine cinématographique entre chefs d’oeuvre, films culte et oeuvres méconnues
en faisant la part belle aux anecdotes savoureuses et décalées (secrets de tournage, répliques, chiffres, contributions inconnues…), et aux thématiques jamais traitées.
 »

« Le Paris de Gainsbourg » d’Emmanuelle Guilcher aux éditions Alexandrines.
 
NOTE DE L’EDITEUR
« Élevé dans les quartiers populaires, de l’est de Paris, à Ménilmontant puis dans le Pigalle animé des années 30, la vie de Gainsbourg à Paris suit le parcours de sa réussite qui le conduit d’abord dans les quartiers ouest les plus huppés de la capitale, avant de le voir s’installer au coeur de Saint- Germain-des-Près, 5 bis, rue de Verneuil, sa maison musée dont les fans ont transformé la façade en oeuvre d’art in progress. Le Paris de Gainsbourg nous invite à une balade dans le temps et la géographie parisiennes d’un des grands artistes du XXe siècle. Emmanuelle Guilcher nous fait revivre l’ambiance des cabarets de la Rive Gauche (Madame Arthur, Milord l’Arsouille), où, pianiste puis chanteur débutant, Gainsbourg débute dans les années 50 ; elle nous raconte ses rencontres avec Boris Vian, Juliette Gréco, les temps de la bohême et ceux des grandes scènes du music-hall parisien : Bobino et Le Palace. Avec elle nous arpentons le quartier sur les pas du chanteur, pour flâner dans les galeries de la rue du Bac, boire un verre au café de Flore, déjeuner chez Lipp ou dans un bistrot du coin, longer les quais pour une visite au 36 quai des orfèvres ou encore une promenade au musée du Louvre. Signe de son inscription éternelle dans la mémoire et la vie parisienne, une station Serge Gainsbourg sera ouverte en 2011, hommage unique pour un chanteur mais clin d’oeil que l’auteur-compositeur interprète du Poinçonneur des lilas, amoureux de l’urbanisme de la capitale aurait apprécié. L’auteure est allée interviewer des figures du monde du spectacle »

 

 

 

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